Spirit-actualités

Saurons nous être acteur de paix

Chaque être porte en lui-même la cause de sa propre souffrance

Rédigé par spirit Aucun commentaire

... et la force nécessaire pour l'accomplissement de sa qualité unique dans une Tâche.

Toute démarche spirituelle suppose un cheminement intérieur.

Qu’est-ce que l’ange ? (ce qui sait en chacun, notre intuition profonde...)

Définition de Gitta Mallasz « Comment cet être spirituel agit-il en moi ? S’il m’aide à devenir plus conscient de moi-même et de ma Tâche sur terre, à trouver mon indépendance, même face à lui, à me sentir non seulement créature, mais aussi créateur, à me délivrer de mon attachement au passé, mais aussi de ma peur du futur, Et à vivre intensément l’instant présent ; à être responsable de moi-même autant que de l’univers entier ; alors c’est une force de l’amour divin, c’est mon pareil de lumière et moi je suis son pareil plus dense sur la terre ».

Qu’est-ce que dialoguer avec son ange ?

Définition de Bernard Montaud "Ce n’est pas entendre des voix mais apprendre à se servir de l’ange comme d’un outils sacré pour atteindre la conscience. - Ce n’est pas une transe médiumnique mais le dur apprentissage de la langue en vérité que Jésus lui-même a fondée. - Ce n’est pas une petite manie spirituelle new-âge, c’est un instant sacré nous faisant tenter une pentecôte personnelle comme les apôtres l’ont vécue ; - Ce n’est pas un dérangement de l’esprit, mais une expérience de SAINT ESPRIT qui peut nous rendre SAIN d’ESPRIT"

Toute voie spirituelle conduit à la découverte de notre intériorité.

Trois misères qui nous habitent en permanence et qui proviennent de notre passé. Si nous décidons d’aimer notre misère du jour au lieu de lutter contre elle, nous pouvons rencontrer un bonheur indéfinissable, celui d’être nourri par cet amour, par ce dépassement : avoir vaincu une petite douleur du jour et en avoir fait une opportunité d’être vivant.

«Les Dialogues avec l'ange satisfont à notre volonté actuelle, en Occident, de repousser l'idée d'un Dieu lointain au profit d'êtres intermédiaires entre nous, humains, et la divinité suprême. Les anges sont plus accessibles», explique Frédéric Lenoir, philosophe et sociologue des religions. «Ils font écho au désir actuel d'une expérience spirituelle personnelle: on veut éprouver le divin en soi, et non plus prier un Dieu barbu extérieur à nous-mêmes, qui nous dicterait un dogme rigide.» L'expérience spirituelle s'est démocratisée, aidée par le succès du développement personnel (avec la vogue du yoga, de la psychologie grand public...).

Si l’homme-métier apprend à s’occuper des souffrances de sa famille consanguine, alors l’homme-Tâche devra, lui, apprendre à s’occuper des souffrances de la grande famille humaine. Avec la Tâche, c’est la faculté d’être venu en aide à ses propres misères, pour être prêt ensuite à aider les mêmes misères chez autrui. Une scolarité nous conduit à l’homme-métier. Une scolarité spirituelle nous conduit à l’homme-Tâche. Il faut d’abord découvrir nos propres misères, apprendre à les aimer pour avoir accès à un début de grandeur (ce qui en nous aime notre petitesse) et enfin il faut apprendre à vivre dans cette grandeur en accompagnant la petitesse des autres. C’est seulement dans la Tâche que nous serons obligés de vivre dans notre grandeur pour atteindre la seule maîtrise qui soit : disposer de notre grandeur miséricordieuse, à volonté, chaque fois qu’il le faudra pour aider autrui. (Bernard Montaud)

Avoir un ange, pour avoir une Tâche

Voilà les deux piliers de l’enseignement de Gitta Mallasz. Puisqu’il s’agit d’instaurer le Maître en soi avec la Tâche accomplie, le sage-homme capable d’accompagner dans sa mission la souffrance des autres. La Tâche est le secret de notre vraie identité, celle qui donne tout son sens à notre vie.

Les commentaires sont fermés.

Fil RSS des commentaires de cet article